mardi 31 juillet 2012

Femme de la rue : Vidéo de cette femme insultée au quotidien


Depuis quelques jours on ne parle que d’elle et de sa vidéo : Sofie Peeters, étudiante belge en cinéma a profiter d’un projet de vidéo de fin d’études pour montrer le harcèlement verbale qu’elle vie au quotidien dans son quartier populaire de Bruxelles. Une vidéo qui fait réagir car elle ne fait que montrer la violence urbaine et verbale que beaucoup de femmes vivent même dans les pays les plus développés…




C’est peut être de ma faute ?

Cette jeune femme a beaucoup pensé à cette situation troublante qui l’entraine dans un sentiment d’insécurité et de culpabilité.
«La première question que je me suis posée c'est, “est-ce que c'est moi? Mes vêtements?”» Mais non, c’est simplement la connerie masculine, si je peux me permettre une conclusion rapide et très personelle.

Son témoignage n’a fait que soulever un problème très courant à travers des commentaires, articles et principalement sur ce forum crée sur Doctissimo. Beaucoup de femmes témoignent ce qu’elles vivent au quotidian, et on se demande vraiment dans quell monde on vit et comment elles peuvent endurer cela au quotidien.


Insultes et harcèlement

Des sourires malsains, des regards insistants, des sifflements et klaxons sont des choses très courantes mais non acceptables pour de ces femmes qui peuvent se sentir en insecurité et degradées. Mais ici, ce sont des insultes, des harcelments et des provocations que Sophie Peeters subie au quotidien et retranscrit dans sa video.


Cette vidéo a été diffusée dans un cinéma de Bruxelles pour mettre en lumière auprès des responsables du gouvernement le malaise des femmes dans une société fragilisée quant à l’image de celle-ci dans notre société et des violences quotidiennes…



mercredi 25 juillet 2012

Cette athlète Indienne accusée de viol car elle serait un homme ?



Il y a quelques semaines j’avais vu dans la presse qu’une ancienne athlète indienne avait été accusée de viol par sa petite amie qui n’était pas sûre de son genre sexuel… L’affaire a continué et voilà qu’aujourd’hui on en apprend plus sur Pinki Pramanik, 26 ans, athlète féminine au look masculin…



Sexualité à doute…

Pinki Pramarik a participé en 2006 aux jeux asiatiques de Colombo et a gagné la course du relais 4x400 mètres. Pour cela, elle a du prendre des injections de testostérone, imposés par son équipe pour qu’elle puisse augmenter ses performances.

Suite à quoi, son apparence s’est un peu masculinisée…

“J'ai l'air plus masculine parce que dans le cadre de mes entraînements pour des compétitions internationales, je recevais régulièrement des injections de testosterone. On appelait cela 'la médecine russe'. On me disait qu'il fallait que je les prenne et je n'ai jamais demandé si c'était légal ou non.”

Accusation de viol

En Juin, on peut lire dans la presse qu’elle est arrêtée pour accusation de viol auprès de sa compagne qui assure qu’elle elle a été trompée sur le genre sexuel de Pinki… Pour s’assurer que Pinki est bien une femme, la police lui demande des examens médicaux que refusera l’athlète. Néanmoins, elle y fut quelque peu forcée…

"Je ne voulais pas faire un test sur mon genre sexuel parce que c'est humiliant. Mais ils m'ont forcée à le faire. On m'a fait une piqûre qui m'a endormie et je me suis réveillée les pieds et les mains attachés au lit, sans mes habits" confie t-elle à la presse.

A ce jour, les résultats n’ont pas été communiqués… Mais l’athlète continue d’assurer qu’elle n’est pas un homme et que petite, elle était même très mignonne…



Une affaire bien étrange qui n’a pas encore fini de nous surprendre. Pink Pramanik a été libérée sous caution le 10 Juillet dernier…



mardi 17 juillet 2012

3 lettres, 3 mots : Eté, Sex, IST !



Je triche un peu avec le deuxième mot qui est traduit en anglais, mais le message est clair et bien résumé ! Trois mots en trois lettres pour rappeler les risques pour votre santé pendant la saison de l’été. Bien que la météo ne soit pas aux rendez-vous, votre santé compte toujours !

L’été, la saison des amours et des IST

Calcul simple et logique, dès qu’il fait beau, que les journées sont plus longues, que l’on part en vacances et que l’ambiance est en place pour stimuler votre libido, il y a d’avantages de rapports sexuels l’été que le reste de l’année. Restons logiques, plus on augmente le nombre de rapports, plus on augmente le nombre de rapports à risques et de risques d’attraper des maladies sexuellement transmissibles. Jusqu’ici, je pense que l’on est tous d’accord…

Je voulais déjà en parler depuis quelques temps, en fait, depuis le début de l’été, mais avec la météo qui semble vouloir faire profiter que ceux vivant sur le pourtour méditerranéen, j’avais un peu laissé tomber l’idée jusqu’à que je vois un article ce matin dans e-sante.fr.


Une maladie silencieuse

Le problème des IST/MST, c’est qu’elles peuvent rester en nous sans se manifester via des symptômes gênants ou douloureux.  On peut donc penser n’avoir aucune maladie, s’aventurer dans une relation non protégée et transmettre son infection au partenaire, ou inversement, être infecté par un partenaire ayant une IST sans le savoir. Tout de suite moins drôle.

Comment éviter cela :

  1. -       Restez toujours protéger lors de vos rapports sexuels
  2. -      Evitez des rapports à risques entrainés par l’alcool ou les drogues…
  3. -       N’hésitez pas à vous faire dépister régulièrement si vous avez de nombreux partenaires sexuels
  4. -       Faites-vous dépister suite à un rapport sexuel non protegé, sachant qu’il faut effectuer un deuxième dépistage 3 mois après le rapport sexuel non protégé pour confirmer ne pas être contaminé par le virus du Sida.
  5. -       Soyez prévoyant : Ayez toujours deux ou trois préservatifs avec vous…
Car j'imagine que vous avez aussi autre chose à faire de votre été qu'à trainer à l'hôpital...


jeudi 12 juillet 2012

Chéri ! J’ai rétrécie mes seins !


J’imagine déjà une conversation dans un couple : Une femme à la poitrine opulente mais trop difficile à vivre au quotidien, trouve la nouvelle crème pour rétrécir le tour de poitrine et, heureuse de sa nouvelle trouvaille, s’en va fièrement auprès de son compagnon et lui annonce : Chéri ! J’ai rétrécie mes seins !



The Bigger the Better

Pas pour tout le monde et pas pour tout surtout ! Et dire que sur terre, il y a des milliers de nanas qui aimeraient avoir une poitrine plus généreuse, il y a aussi des femmes qui cherchent à la diminuer. 

Encore une injustice de Mère Nature.

Bref, je vous partage ma trouvaille loufoque ce matin en lisant mon quotidien en ligne préféré pour les infos les plus tordues : 7sur7.be.


Une entreprise qui s’étaient spécialisée dans la vente de soutien gorge push up pour les femmes souhaitant mettre en valeur leur petits atouts à décidé de se lancer sur un autre marché, similaire mais pourtant très différent : Les crèmes pour rétrécir la poitrine.

Michelle Mone, directrice de la marque Ultimo a donc découverte cette solution miracle qu’elle a elle même testé pour assurer l’efficacité du produit et clame à qui veut bien l’entendre que cette crème fait des miracles : Elle aurai perdu un tour et demi de poitrine après deux semaines d’utilisation, deux fois par jour.


Crème pour forte poitrine

Il aura quand même fallu trois ans pour développer cette crème à « réduction mammaire immédiate » à base d’extraits de fruits de forêt tropicale, açaï, cupuaçu, maracuja et de l’indigo sauvage. Pour une cinquantaine d’euro, il vous est possible de posséder l’arme miracle pour rétrécir les seins.

Si jamais ça vous tente… 

En attendant, je rigole encore de ma blague : « Chéri ! J’ai rétrécie mes seins ! »