lundi 28 janvier 2013

Ces lieux où l'on rencontre l'âme soeur...


couple, lieux de rencontre













Où rencontre t’on son conjoint ou son premier partenaire sexuel ? 
Une étude de l’INED a examiné les habitudes des Français quant à leur quête d’amour… Des démographes se sont pour cela appuyé sur l'enquête "Contexte de la sexualité en France" menée en 2006 auprès de plus de 12 000 personnes. En voici les résultats !

Si l'on rencontre son premier partenaire sexuel au cours des études, c'est dans les soirées entre amis que l'on tombe le plus souvent sur son futur conjoint. Entre 1984 et 2006, 18% des hommes et des femmes y ont fait la connaissance de leur âme soeur. Les lieux publics (rue, métro) constituent, eux, environ 15% des rencontres. Viennent ensuite les boîtes de nuit (entre 14 et 15%), les études (11%) et le lieu de travail (10%). Seul 1% des Français rencontrent l’élu de leur cœur sur Internet considéré "davantage comme un facilitateur de contacts qu’un lieu de formation des couples". Et les vacances dans tout ça ? Dommage que les sociologues ne le mentionnent pas car être loin de chez soi nous rend toujours plus ouvert à de nouvelles opportunités...

Selon l’étude, plus on est diplômé, plus on a de chances de le rencontrer au cours de la scolarité. Au contraire, les lieux public, les bars et les discothèques sont plus propices aux rencontres si l'on est moins diplômé. Une affirmation qui selon moi n'est pas très représentative de la réalité...

Une autre tendance qui se reflète est l’homogamie sociale, c’est çà dire que l’on est attiré plus souvent par des personnes venant d’un milieu similaire. Une habitude qui s'est préservée au fil des années puisque les "personnes qui se ressemblent socialement fréquentent souvent les mêmes lieux" selon les auteurs. Heureusement que l’enquête de OpinionWay nous confirme que l’on choisit sont partenaire « plus pas passion que par pragmatisme ». Et pour vous, quel serait le lieu de rencontre idéal ?

vendredi 18 janvier 2013

A quoi ressemblait la femme parfaite ?













Bien loin des canons de beauté du 21ème siècle, Elsie Scheel a été élue « femme idéale » en 1912 parmi 400 étudiantes de l’université Cornell à New York. La jeune fille qui serait aujourd’hui considérée en surpoids incarnait à l’époque la perfection physique. De quoi hérisser les poils de Karl Lagarfeld…

Les mensurations de Vénus

La jeune femme aux cheveux clairs et aux yeux bleus pesait près de 78 kilos pour 1 m 74 environ. Des mensurations proches de celles de la Vénus de Milo, bien qu’elle soit plus grande que le modèle de l’Antiquité… annonçait le journal The Star. On la décrivait alors comme « une fille splendide et en bonne forme ».


Avec un IMC de 26,8, la belle Américaine se retrouverait aujourd’hui dans la catégorie de « femmes en surpoids ». Elle entrerait ainsi dans une taille 42-44. ». Elle s’intéresse au sport et à la mécanique mais aussi à l’horticulture dont elle aimerait en faire son métier. Lors d’une interview, Elsie affirme qu’elle a un mode de vie sain et qu’elle mange quand elle en a envie. Eh oui, la minceur était autrefois synonyme de mauvaise santé !

L’anorexie comme idéal de beauté

Un siècle plus tard, on remarque qu’hélas les modèles de beauté n’ont plus rien à voir avec le portrait de Elsie. C’est du moins le message que font passer les magazines mettant en couverture des filles plus maigrichonnes  les unes que les autres. Il a fallu attendre 2013 pour que la première loi contre l’anorexie des mannequins entre en vigueur en Israël interdisant les personnes ayant un IMC inférieur à 18,5 de défiler ou d’être présent dans les médias. Espérons que les autres pays suivront cet exemple…

Pour être belle aujourd’hui, il faut ressembler à Mila Kunis, élue en 2012 la femme la plus sexy de la planète par le magazine Esquire. Comme vous avez pu remarquer, plus les années passent et plus il faut être maigre pour correspondre à cet idéal. Même la pulpeuse Marylin Monroe n’a pas le corps des actuels « sex symbols »hollywoodiens. Heureusement que Beyoncé et Kim Kardashian ont échappé aux stéréotypes et sont considérées attirantes avec leurs formes généreuses.

Et si les beautés antiques devaient être adaptées aux normes actuelles, à quoi ressembleraient-elles ? L’artiste italienne Anna Utopia Giordano a modifié l’aspect des célèbres Vénus de l’histoire pour qu'elles soient conformes à la femme parfaite de nos jours. Celles-ci se retrouvent avec une plus grosse poitrine, des jambes et un ventre amigris à la limite de l’anorexie. Que pensez-vous des résultats ?

Voici la Naissance de Vénus de Botticelli (1484) et la Vénus de Cabanel (1863) :




               












mercredi 9 janvier 2013

Fourchette électronique : la solution pour maigrir ?


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Qui n’a jamais rêvé de pouvoir maigrir en se passant de régimes ou de sport ? Ce serait bientôt possible grâce à la fourchette électronique. Inventée par un Français,  elle nous permettrait de contrôler la vitesse à laquelle on se nourrit. En effet, manger trop vite peut entraîner une hausse de poids et il n’est pas toujours évident de prendre son temps au moment des repas, soit parce qu’on est pressé soit par habitude tout simplement. C’est là qu’intervient ce produit miracle !

Jacques Lépine à l’origine de l’invention déclare: "Je n'arrivais pas à corriger ce comportement. Et puis un jour, en regardant ma fourchette, je me suis dit que j'y arriverais peut-être avec la fourchette". La fourchette émettra une vibration chaque fois que l’on porte sa cuillère trop rapidement à la bouche. Il suffira alors de ralentir le rythme et d’en voir rapidement les effets sur votre corps.

Son aspect n’est pas différent d’une fourchette normale. Seul le manche est plus large pour pouvoir insérer les capteurs de vitesse. Avant de la laver, il faut juste retirer la partie électronique. L’appareil fonctionnera pendant deux semaines et peut émettre jusqu’à 10 vibrations par repas, tout en l’utilisant trois fois par jour.

Le produit crée par la société Slowcontrol a été présenté au salon high tech International CES de Las Vegas la semaine dernière. Il sera lancé sur le marché américain dès le mois d’avril au prix de 99 dollars. Ce ne sera donc pas à la portée de tout le monde. Qui aurait cru que se procurer une fourchette puisse devenir un luxe ! Une application permettra aussi d’enregistrer toutes les informations concernant la vitesse à laquelle vous manger pour pouvoir évaluer vos progrès.  Et vous, seriez-vous prête à l’essayer ?